L’inextricable Santis

Santis et la région se trouvant directement au sud du royaume de Mons.
Elle se caractérise par un climat chaud et humide, par des jungle luxuriante inhospitalières et de grands cours d’eau. De ce fait la circulation à l’intérieur des terres se fait par pirogue ou par grands bacs.
Ce sont d’ailleurs les ingénieurs de sentisse qui on invite inventer tout ce système d’écluse et de canaux permettant aux marchands de voyager de fleuve en fleuve depuis Erene (Royaume d’Oben) jusqu’à Terracota (royaume de Mide) tout en transitant par Roba, la plus septentrionale des cités Santisses.
Au pied des montagnes, avant de devenir une grande jungle le paysage est composé grands marécages.
Ce royaume est riche de ses nombreuses ressources exotiques telles que le café le cacao ou encore les épices Qu’il n’est possible de trouver qu’au sein de ses jungle inextricable. L’économie c’est ainsi bâtie sur ce grand monopole permettant prospérité richesse au royaume, En effet marchands et négociant proviennent de tous royaume à fin de se procurer tous ces joyaux gustatif.
Les trois grandes villes principales  (Toma, Roba et Jova) se rassemblent dans la partie sud est du royaume tendit que le nord est bien plus sauvage est composé de petits villages de cueilleurs ainsi que de comptoir commerciaux en bord de fleuve permettant repos nourriture et logis aux nombreux marchands venant d’ailleurs.
À noter que la zone marécageuse du royaume outre les comptoirs commerciaux en direction de Mons recèle plusieurs petits villages permettant récolte de roseaux et de quenouilles pour la confection de papier de papyrus (d’une moindre quantité et qualité que celui de l’île des Marées).

La reine régnantes sur le territoire se nomme la Reine Serpentine ; personne ne connaît son vrai nom. Selon la tradition, lors de la mort d’une reine régnante, toutes les fillettes entre dix et douze ans possédant comme attribut d’avoir les yeux verts sont recherchés par la garde royale ils sont amener au palais de la reine on ne sait pas vraiment ce qu’il s’y passe cependant au bout d’un mois seul une fille ressort de l’épreuve, perdant tout pouvoir de fécondité mais devenant la nouvelle reine Serpentine, à vie ; on ne sait pas ce qu’il advient des autres filles. Apparemment aucune famille ne s’est jamais opposé à cette tradition car c’est un honneur pour tout clan de voir sa fille la possibilité de devenir la nouvelle reine serpentine.
Sur choix de la reine tout mâle peut rejoindre la cour royale : Si celui-ci plaît physiquement à la reine il sera alors envoyer au harem de la reine serpentine dont les rumeurs d’appétit sexuel sont apparemment bien plus que des légendes.
Les hommes les plus musculeux il est plus habile au combat seront alors castré et ils feront partie de la garde eunuque de la reine ( pouvant compter plusieurs milliers d’hommes). Le reste de la cour de la reine se compose de brillants philosophes venus de tout le continent, de scientifiques, de diplomates et de grands commerçants permettant de conseiller la Reine Serpentine sur la marche à suivre pour le royaume.

La ville de Roba, la plus au nord des trois villes principales se situe à la croisée des routes commerciales venant d’Oben et de Mide, la seule façon d’y accéder depuis l’étranger est par voie fluviale et par canaux inter-fleuves. Une grande voie terrestre (La Voie de la Reine) relie ensuite Roba à Toma puis à Jova.
Cette ville millénaire abrite le grand temple de Onage
, Déesse de la Lune et de la Nuit, trônant au centre de la cité. Ce temple est entourée d’une grande place circulaire, pavée de pierres multicolores, permettant passage de processions funéraires et du fameux festival des ombres , ayant lieu à chaque solstice d’hiver. L’autre place, communément appelée place aux épices, se situe à l’entrée de la Cité, et alertera les visiteurs par ses odeurs venues d’ailleurs, ses nombreux étals multicolores et sa foule en ébullition tel un essaim d’abeilles.

La Capitale, Toma a une structure tout à fait différente, elle a été établie selon les plans de Eldon Martal, le plus grand architecte Monsien, en 964 av.GA, en remerciement de l’aide apportée par Santis à la tentative d’invasion de Mide contre Mons de 970 av.GA.
Les Monsiens ont alors offert tout le pavage de la ville de Toma, alternant basalte et granite blanc, donnant aux rues de la ville un pavage tout à fait fantastique. Selon l’architecture Monsienne, les rues sont rectilignes et numérotées afin de s’y repérer au mieux.
Surplombant la colline d’Antana, dans la partie est, le palais de la Reine Serpentine peut s’observer en tout point de la ville. Son toit en or reflète les rayons mordants du soleil en tout heure de la journée.
Adjacent au palais se trouve d’un côté le temple de Bora, déesse de la fête et du jeu, et de l’autre le temple d’Oros, dieu de la richesse et du commerce.
La place du marché est moindre qu’à Roba et Jova, car cette. Ville est davantage ville religieuse, militaire et décisionnaire que ville commerçante (Roba carrefour commercial terrestre majeur et Jova carrefour maritime important).
A l’écart de la ville se trouve la grande Arène du Serpent, justice martiale au cœur de laquelle est rendu tout jugement selon la tradition Santisse. Cette énorme arène peut contenir jusqu’à 40000 spectateurs. Des combat y ont lieu toutes les nouvelles lunes, sous le regard de la monarque Santisse.
De cette capitale sont prises absolument toutes les décisions administratives, militaires du Royaume. Le côté commercial étant géré par chaque ville selon son bon vouloir (sauf ordre de la Reine bien entendu).

Jova, se trouvant à l’embouchure du fleuve Nakaï dans le golfe de Toran, est une ville polyculturelle à l’activité commerciale débordante. En effet on retrouve dans cette ville plus de marchands d’origine Barse, Evoriane ou Obenienne que de commerçants Santisse.
Toutes les denrées étrangère amenées en cette ville sont acheminées par la Voie de la Reine jusqu’aux villes intérieures (le commerce étant plus aisé par voie maritime que par voie fluviale, trop fastidieuse pour bon nombre de commerçants).
Cette ville, aux maisons et au pavage de couleur ocre, est composé de grès d’Evoria. Ville bâtie en 260 ap.GA, elle est plus jeune que ses deux sœurs, autrefois le commerce ne se faisant que par la voie fluviale Oben-Evoria-Mide. Les bateaux ont enfin pu passer dans les mers méridionales agitées, suite à l’évolution technologique des coques et voiles des navires, ainsi qu’à une maîtrise importante du Lumen, de la part des navigateurs les plus expérimentés, leur permettant de dompter les vents et les courants marins.
La mer au sud du continent, emplie de récifs, est réputée comme innavigable par tout néophyte de la voile.
Du port de Jova partent également épices et produits exotiques de luxe ayant transité le long de la Voie de la Reine en direction des autres nations, pour le plus grand bonheur de l’aristocratie Barse et Obenienne, ainsi que du peuple Evorian.